Le Nez du Vin, Le Nez du Café et Le Nez du Whisky sont composés d’un livre et d’une collection d’arômes. Ils représentent trois alphabets olfactifs qui offrent un langage pour parler de trois fruits de la terre : le raisin, le café et l’orge. Chaque Nez constitue un solfège pour faire ses gammes et améliorer ses capacités d’identification et de mémorisation. Utilisés comme instruments de travail ou jeux de société, ils permettent un apprentissage des odeurs à la portée de tous, néophytes, amateurs et professionnels. Humez, butinez les arômes des différentes collections, ravitaillez votre mémoire olfactive. Plus elle s’enrichit, plus vous améliorez vos capacités à déguster.
Ne sentez plus par ouï-dire. La mémoire olfactive représente la pierre d’angle de la dégustation. Entraînez-vous, choisissez les arômes au hasard, sentez avec attention, tentez de les nommer, vérifiez. En quelques semaines, à coup sûr, vous serez capables de repérer, reconnaître et surtout nommer ces arômes, clés de reconnaissance de ce que vous aller déguster. Que Le Nez du Vin, Le Nez du Café ou Le Nez du Whisky soient pour vous un outil pédagogique ou un jeu en famille ou entre amis, peu importe, démarrez et vous progresserez très rapidement.
Ne goûtez plus par procuration. Lancez-vous, choisissez un vin, un café ou un whisky “pédagogiques”, c’est-à-dire qui possèdent des arômes typiques facilement détectables : un Gewurztraminer, un café colombien ou un single malt d’Islay. Vous pourriez découvrir le litchi dans le premier, le caramel dans le deuxième et la tourbe dans le troisième. Passez à la vérification avec la collection, comparez la note aromatique avec ses proches : rose ou litchi ? beurre ou caramel ? tourbe ou note fumée ? Vous ne vous ennuierez plus car vous ne goûtez plus de la même façon. Vos perceptions sont de plus en plus fines. Vous avez acquis les aptitudes indispensables pour apprécier, juger et commenter les vins, les cafés et les whiskies que vous goûtez.
L’odorat Le plus aigu de nos cinq sens. Il n’existe pas de détecteur plus sensible que le nez humain. Aucun appareil scientifique ne possède ses capacités surprenantes ! Pour sentir, le dégustateur utilise son nez et sa bouche ; on pourrait dire que le palais est dans le nez puisque les sensations perçues par le nez (l’odeur) et par voie rétro-nasale (l’arôme en bouche) se regroupent et se complètent. L’odorat constitue le plus important des sens dans la perception d’un vin, d’un café ou d’un whisky et procure 80 % du plaisir de la dégustation (souvenez vous qu’enrhumés, vous ne goûtez plus rien !).
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